La transformation numérique des entreprises, c’est la révolution industrielle du 21ème siècle. L’économie connaît une mutation rapide, transverse et profonde. Si, à terme, tous les secteurs d’activité sont concernés, certains sont en première ligne pour opérer cette transformation, dès à présent. C’est le cas des entreprises de service présentes sur des marchés devenus plus ouverts et plus transparents…donc plus concurrentiels. Dans ce contexte, un enjeu majeur est la relation avec ses clients. Hyper connectés et mobiles, leur niveau d’exigence s’est élevé. Pour les fidéliser, il faut les (re)mettre au centre de la stratégie et adapter les méthodes de vente grâce à un CRM adapté.
Un système d’information connecté
Autre enjeu capital : se concentrer sur son cœur de métier. Pour cela, il faut disposer d’un système d’information performant, sécurisé et perpétuellement à jour. Le Cloud est une réponse efficace qui permet d’optimiser ses investissements IT en les adaptant strictement à ses besoins. Libérée de ses contraintes de support et de help desk, à faible valeur ajoutée, la DSI peut concentrer ses compétences pour innover et répondre aux besoins des métiers. Chez Isatech, intégrateur Dynamics 365 une conviction forte a été acquise au fil des projets ERP et CRM réalisés pour ses clients: si la transformation numérique passe irrémédiablement par le déploiement et l’utilisation d’outils technologiques qui permettent aux collaborateurs d’être plus compétitifs, elle est avant tout un projet stratégique dont la réussite passe par un processus de conduite du changement au sein de l’entreprise. Pour réussir, cette transformation doit être insufflée par la direction générale et s’appliquer au quotidien par un engagement des managers, utilisateurs exemplaires des solutions numériques et maîtres d’œuvre des nouvelles pratiques.
Fini les silos, vive la transversalité ! Si l’objectif de la transformation numérique est de rester compétitif sur son marché, il faut au préalable mettre en place une organisation dans laquelle l’activité quotidienne des collaborateurs se focalise sur les clients et les projets. Pour faire évoluer l’organisation traditionnelle en silos vers un fonctionnement transverse, la mise à disposition d’outils de travail collaboratif tel que Microsoft Teams est un préalable. Le partage de calendriers et de documents, l’accès à une messagerie instantanée, à la visioconférence sont les fonctionnalités de base pour s’engager dans cette voie.
Collaboration : la nouvelle donne de l’entreprise numérique
Il n’y a pas que les commerciaux qui sont au contact du client. D’autres métiers comme la comptabilité, le marketing ou le service support, le sont tout autant. Et c’est là le principal enjeu du travail collaboratif. Ce qui a profondément changé avec l’économie connectée, c’est la multiplication des points de contacts entre l’entreprise et son client. Par e-mail, sur un site web, sur une application mobile ou sur les réseaux sociaux, les possibilités sont désormais nombreuses. Pour autant, le client attend que l’entreprise lui réponde d’une seule voix.
Parmi les solutions de travail collaboratif disponibles sur le marché, Microsoft 365 dispose de solides arguments. Son premier atout, c’est Outlook. Largement déployé dans les entreprises, l’outil de messagerie est aussi très apprécié par les collaborateurs. La popularité de son interface et de ses fonctionnalités est donc une porte d’entrée idéale pour développer les pratiques collaboratives. Interfacé avec Sharepoint, pour le partage et la mise à jour de documents, Outlook est un centre de pilotage rassurant pour les utilisateurs. Autre atout, l’accès à tous les logiciels bureautiques de la suite Office : Excel, Word, Powerpoint, One Note… Hébergé dans le Cloud, Microsoft 365 est accessible sur les ordinateurs fixes (PC et Mac), les tablettes et les smartphones permettant l’accès à toutes les fonctionnalités en mobilité. Côté administration, la solution permet de créer et de supprimer des comptes d’utilisateur à la volée et de se dégager des problématiques de sécurité. En outre, sa facturation par utilisateur et par mois optimise l’investissement informatique puisque l’on ne paye que pour les ressources utilisées.