Les meilleures citations de Confucius

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Confucius* – 551 -741 av. J.-C. – le premier « éducateur » de la Chine. Le confucianisme, doctrine politique et sociale érigée en religion d’État par la dynastie Han, bannie au début du XXe siècle et de nouveau reconnue en 1973 met l’homme au centre d’une morale positive. Les meilleures citations de Confucius .

 

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie. »
« Quand on peut accomplir sa promesse sans manquer à la justice, il faut tenir sa parole. »
« L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout. »
« On peut connaître la vertu d’un homme en observant ses défauts. »
« Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu. »
« Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine ; réfléchir sans livre ni maître est dangereux. »
« Le silence est un ami qui ne trahit jamais. »
« Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d’ennuis te seront épargnés. »
« Dépasser le but, ce n’est pas l’atteindre. »
« Celui qui sait obéir saura ensuite commander. »
« Agissez envers les autres comme vous aimeriez qu’ils agissent envers vous. »
« Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir. »
« Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette. »
« Faire le bien sans chercher de récompense ; fuir le mal sans craindre le châtiment : homme rare sous le ciel. »
« Le sage se demande à lui-même la cause de ses fautes, l’insensé le demande aux autres. »
« Lorsque vous travaillez pour les autres, faites-le avec autant d’ardeur que si c’était pour vous-même. »
« Nous sommes frères par la nature, mais étrangers par l’éducation. »
« L’homme honorable commence par appliquer ce qu’il veut enseigner ; ensuite
il enseigne. »
« Quand vous voyez un homme sage, pensez à l’égaler en vertu. Quand vous voyez un homme dépourvu de sagesse, examinez-vous vous même. »
« Ne vous affligez pas de ce que les hommes ne vous connaissent pas ; affligez-vous de ne pas connaître les hommes. »
« La Vertu ne va jamais seule ; elle attire toujours des imitateurs. »
« On s’égare rarement en s’imposant soi-même des règles sévères. »
« Le sage est calme et serein. L’homme de peu est toujours accablé de soucis. »
« Celui qui est sévère envers lui-même et indulgent envers les autres évite les mécontentements. »
« Notre plus grande gloire n’est point de tomber, mais de savoir nous relever chaque fois que nous tombons. »
« Ne te crois point si important que les autres te paraissent insignifiants. »
« Le grave défaut est d’avoir des défauts et de ne pas s’efforcer de s’en corriger. »
« L’expérience est une lanterne attachée dans notre dos, qui n’éclaire que le chemin parcouru. »
« Celui qui déplace la montagne, c’est celui qui commence à enlever les petites pierres. »
« La nature fait les hommes semblables, la vie les rend différents. »
« Ne choisis tes amis que parmi tes égaux. »
« Apprendre sans réfléchir est vain. Réfléchir sans apprendre est dangereux. »
« L’homme supérieur ne demande rien qu’à lui-même ; l’homme vulgaire et sans mérite demande tout aux autres. »
« Ne vous souciez pas d’être sans emploi ; souciez-vous plutôt d’être digne d’un emploi. »
“Quand vous rencontrez un homme vertueux, cherchez à l’égaler. Quand vous rencontrez un homme dénué de vertu, examinez vos propres manquements. »
« Ne vous souciez pas de n’être pas remarqué ; cherchez plutôt à faire quelque chose de remarquable. »
« Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. »
« Lorsque l’on se cogne la tête contre un pot et que cela sonne creux, ça n’est pas forcément le pot qui est vide. »
« Qui comprend le nouveau en réchauffant l’ancien peut devenir un maître. »
« Qui ne connaît la valeur des mots ne saurait connaître les hommes. »
« Agis avec gentillesse, mais n’attends pas de la reconnaissance. »
« Le tout est plus grand que la somme des parties. »
« L’homme de bien est droit et juste, mais non raide et inflexible ; il sait se plier mais pas se courber. »
« Le sage ne s’afflige pas de ce que les hommes ne le connaissent pas ; il s’afflige de ne pas connaître les hommes. »
« L’homme de bien ne demande rien qu’à lui-même ; l’homme de peu demande tout aux autres. »
« L’homme de bien se révèle dans les grandes occasions ; l’homme de peu ne s’accomplira jamais que dans les petites tâches. »
« Je ne peux rien pour qui ne se pose pas de questions. »
« La vie de l’homme dépend de sa volonté ; sans volonté, elle serait abandonnée au hasard. »
« L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la porte. »
« Si tu rencontres un homme de valeur, cherche à lui ressembler. Si tu rencontres un homme médiocre, cherche ses défauts en toi-même. »

* Le confucianisme, religion humanisme optimiste, a impacté la vie sociale et la philosophie politique de la Chine. A l’origine un homme du nom de Confucius né 500 ans avant Jésus-Christ. Le confucianisme, le plus souvent défini comme une conduite morale, une approche éthique plus qu’une religion, met l’accent sur la terre plus que sur le céleste; il privilégie le culte des ancêtres, la piété filiale avec une obéissance aux aînés de la famille. Le confucianisme s’est développé sur deux millénaires à partir de l’œuvre du philosophe Kongfuzi, « Maître Kong » (551-479 av. J.-C.), dont le nom latinisé est Confucius. La Chine vit sous le système de pensée hybride du confucianisme, du taoïsme et du bouddhisme. Une influence en Asie orientale aussi importante que celles de Platon et de Jésus en Occident, sans avoir fondé une religion, mais un système rituel et une doctrine sociale et éthique.

Les principes fondamentaux du confucianisme
Le système éthique du confucianisme recommande la vertu chez l’individu et dans la société, avec la vertu de de l’effort personnel.  Pour Confucius l’homme peut améliorer sa vie et sa culture en s’appuyant sur la vertu pour l’accomplir alors que le christianisme biblique prône le contraire. Le confucianisme, comme toute pseudo religion, s’appuie sur les réalisations et les possibilités de l’homme.
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Reid Nalliat: