Sous le choc ! En cette rentrée post-agapes, la twittosphère, rapidement relayée par les medias traditionnels, s’est mise en ébullition en découvrant le nouveau visage de Rachida Dati. Invitée par France Info lundi matin, la maire du VIIe arrondissement de Paris a laissé circuler une photo sur Twitter, pas vraiment avantageuse…
Dati en tête du botox office
« Rachida Dati en tête du botox office », pouvait-on lire sur le réseau social. Renommée « La sœur cachée de Bogdanov » (du nom des frères jumeaux dont les visages ont été transformés par la chirurgie plastique, pour ne pas dire déformés), l’eurodéputée semble avoir consulté un chirurgien esthétique durant la trêve de noël. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas très réussi. « Pourtant, Rachida Dati n’a sans doute pas consulté le premier venu, estime Richard Abs, secrétaire général du syndicat national de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique. Elle a dû lui forcer un peu la main pour faire ces interventions. C’est le genre de femme qui sait ce qu’elle veut ». Ainsi, à 50 ans, l’ancienne Garde des Sceaux a cédé au chant des sirènes de la beauté, et ce, bien qu’elle possède l’un des plus jolis minois de la classe politique (tous bords confondus).
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Être en paix avec soi-même
Dans un monde d’images, le dirigeant politique (et encore plus la femme politique) doit avoir une apparence irréprochable. Qui ne s’est pas moqué du surpoids de François Hollande, de Roselyne Bachelot ou du visage « fatigué » de Jean-Louis Borloo ? Dans les entreprises, beaucoup de cadres également subissent cette dictature du paraître. Il est tentant de se laisser tenter par des techniques médicales de plus en plus performantes (injection de graisse, laser, botox) pour redonner un coup de jeune. Mais alors, le recours à la chirurgie esthétique à 50 ans serait-il une fatalité ? « Bien sûr que non, ce n’est pas une question d’âge, répond Richard Abs. L’important, c’est d’être en paix avec soi-même ».
Parfois, une rupture sentimentale ou professionnelle peut déclencher l’envie de « se mettre à la page » ou de gommer le défaut (bosse du nez, oreilles décollées, culotte de cheval) qui vous a toujours gâché la vie. « Certaines personnes pensent à l’acte de chirurgie esthétique comme une bonne résolution », explique le chirurgien. «Je me fais opérer des paupières (blépharoplastie) car j’ai un surplus de peau et je parais 10 ans de plus ! Je n’ai que 33 ans mais je ne supporte plus mes paupières, c’est devenu une obsession », témoigne Lydia sur le forum d’aufeminin.com, toute heureuse de son résultat quelques mois plus tard. Dans un processus de recrutement, le lifting vous aidera surtout s’il ne se voit pas et surtout si ce que vous apportez de valeur ajoutée professionnelle – au-delà de votre look – donne l’espoir à celui qui vous recrute d’un ROI rapide.
De plus en plus d’hommes y viennent
Certains dirigeants recourent à la chirurgie esthétique pour rajeunir leur look – jeunisme oblige – et doper leurs affaires. Soigner votre apparence est bon pour le moral, pour votre carrière et vos affaires ! De plus en plus d’hommes y recourent sans l’avouer vraiment, surtout si cela concerne les poignées d’amour évaporées par une simple lipo-succion. Tout dépend du secteur dans lequel vous travaillez, plus vous évoluez dans un métier d’image, plus votre allure soignée sera un atout : mode, beauté ou communication sont les secteurs dans lesquels les cadres veulent à tout prix rajeunir leur look. Mais si vous voulez rester dans la course, le leader qui entraîne derrière lui ses équipes, le petit lift rafraîchissant ou le gommage des rides et pattes d’oie à coup de toxine botulique ne suffiront pas. Vous devez garder la pêche, entretenir votre corps – et pas seulement son enveloppe -, ne pas vous laisser aller, surveiller votre poids et pratiquer un exercice physique régulier.
Un investissement sur 10 ans
Au chirurgien de poser des limites lorsqu’il décèle une fragilité chez ses patients. « Certaines femmes souffrent de Body Dysmorphic Disorder (BDD) (dysmorphobie en français) ». Il s’agit d’un trouble psychologique caractérisé par une préoccupation ou une obsession excessive concernant un défaut dans l’apparence. « A nous de les repérer ». Certaines chirurgies reconstructrices donnent des résultats spectaculaires et pour longtemps. De quoi redonner le sourire à certains. La blépharoplastie, par exemple, est un bon investissement. Selon le docteur Abs, on est tranquille pendant dix ou quinze ans. Même chose pour le lifting qui devrait faire effet au moins dix ans. Et pour ceux qui sont allergiques au bistouri, les moyens non chirurgicaux et non invasifs sont de plus en plus nombreux. Reste à trouver le bon praticien, dans lequel vous aurez une confiance totale.
Trouver des spécialistes pour réaliser un lifting parfait
Il existe plusieurs solutions pour trouver un professionnel dans la chirurgie esthétique. En fonction des besoins, certaines personnes vont se diriger vers la Caisse primaire d’assurance maladie pour de la chirurgie réparatrice, vers des centres de chirurgies esthétiques pour des besoins plus comme le lifting visage ou comme le mini lifting.
En bref, il existe plusieurs solutions de mettre en place un suivi chirurgical. Maintenant, sachez que pour certains actes chirurgicaux peuvent être pris en charge par la Sécurité sociale. Pour en savoir plus sur les différents actes qui peuvent être remboursés, nous vous conseillerons de vous diriger vers votre CPAM la plus proche.
Si vous souhaitez réaliser davantage un acte chirurgical de confort, dans ce cas-là, nous vous conseillerons plus de vous diriger vers des cabinets et spécialistes de la chirurgie esthétique. Lors de vos rendez-vous, nous ne pourrons que vous conseiller de faire différentes demandes de devis. Ces derniers devront méticuleusement être étudiés pour déterminer le meilleur spécialiste pour un lifting du visage au meilleur prix sans faire de sacrifice sur la qualité de la prestation que vous aurez à faire.