Son groupe  réalise en France plus de 182 millions € de chiffre d’affaires, 118 000 tonnes d’acier parachevé et emploie 2 000 personnes dans 30 sites : Aiguebelle, Ancenis, Biars-sur-Cère, Châteaubriant, Herbault, Héricourt, La Roche-Vineusen, Montélier… autant d’usines spécialisées en poinçonnage, pliage, soudure, formage, cintrage, découpe à plat, usinage, pliage, mécano-soudure et peinture, travail du tube, emboutissage, soudage, poudrage époxy, oxycoupage, plasma, laser grandes capacités, sertissage.. . Au niveau mondial, Arcelor Mittal possède un parc de 292 machines : découpe laser et plasma à tête chanfreinante,  découpe oxy, lignes de soudage manuelles et robotisées, équipements de traitement de surface, plieuses, usinage mécanique, presses, plateformes logistiques en Europe, Chine, Inde et Egypte…

Sa stratégie est d’optimiser les investissements dans la recherche. Il achète le deuxième groupe sidérurgique du monde, Arcelor, en promettant de maintenir le cap d’Arcelor. En moins de trois mois, il contrôle l’entreprise. Mittal Steel Company NV, coté à l’Euronext devient ArcelorMittal en 2006, multinationale de droit néerlandais au siège social à Rotterdam aux Pays-Bas, présent dans dix-huit pays : France, Chine, Inde, Indonésie, États-Unis, Mexique, Canada, Allemagne, Pologne, Russie et Algérie, avec 224 000 salariés. Dans le conseil d’administration on note entre autres personnalités le PDG, Joseph Kinsch, Le Prince Guillaume de Luxembourg, son fils Vanisha Mittal, François Pinault…
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photos  telegraph.co.uk souces sites Arcelor Mittal et Wikipedia,